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Elegantia Poetia

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14 mai 2008

Nouveau Blog Nouveau Projet

voici le lien vers mon nouveau blog, sur lequel j'écris avec une de mes cousines... voilà voilà http://lauteursanscible.canalblog.com/
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30 décembre 2007

Des Mots pour Des Hommes - Ivan DK

Des Mots pour Des Hommes ces quelques mots ne sont pas pour toi pas uniquement pour toi mais pour moi pour que je me souvienne de la vie pour ne pas oublier tout ce que tu m'as pris j'ai maintenant vingt ans je suis vivant c'est une volonté trop forte d'être grand je regarde derrière moi les mots cassent je vois sans cesse ce qui me tracasse j'écris ces mots pour te dire la vérité je t'ai aimé aimé si fort j'étais si passionné que j'ai peur que ce n'est pas été vrai j'ai cru avoir rencontré ma belle dulcinée tu m'as lâché sans donner de raisons pourtant pour toi j'ai fait briller ma passion j'ai sacrifié l'amitié sur un autel trop beau pour toi je lui ai ouvert le coeur sans écouter ses cris pour toi rêvant les belles choses que tu me donnerais comme drogué par un amour désordonné ils pleuraient je ne voulais pas savoir pourquoi tout me semblait plus que clair j'étais avec toi je t'avais parlé de mes doutes de mes peurs tu as vu les cicatrices du palpitant de mon coeur la vérité avait un coeur éclatant dans le noir je t'ai tout donné plus que je ne pensais avoir tu ne m'a montré qu'un reflet de toi je l'ai aimé je t'ai tout montré tu n'as rien lâché tu as douté maintenant j'ai vingt ans je suis seul j'ai aimé mais j'ai été joué par toi cruellement trompé je pense savoir la raison de toutes ces peines ce sont des musique sans mélodie qui apprennent les dures leçons dont on perd le sens visible tu m'as rendu amoureusement fragile sensible j'ai peur de ce que je suis devenu de la prochaine qui sera-t-elle pour prendre ce coeur blessé sereine tu as été mes rêves pour qui j'ai tout oublié sacrifié mais j'ai peur d'avoir mis de côté ce que j'étais peut-être que la prochaine ce sera finalement toi cette histoire elle se racontera une prochaine fois il nous faut tous apprendre à grandir n'oublions pas il n'y a pas que l'ombre des autres il y a leur voix je n'en sais rien il n'est pas le temps de pardonner je suis la victime le suicidé de l'amour et je renaît j'écris ces mots pour tout ceux qui savent ce que signifie de ne plus savoir ce que l'on est d'oublier la vrai vie j'écris pour arrêter de mettre un nom sur l'amour toutes ces choses trop violentes j'en ai fait le tour je ne veux plus écrire pour détruire mon art veut être pur même si la vie seul est toujours beaucoup plus dur je veux vivre pour Dieu il est mon ami je l'aime car seul lui ne peut pas me faire souffrir par la peine il ne me trahira jamais car il ne le peut il ne le veut je veux être proche de lui autant que je le peux je ne regrette rien tout à un sens même les crises j'apprendrais à connaître celui de la méprise celle là même cette comédie que tu m'as fait vivre celle dont j'en sors mort épuisé complétement ivre j'écris des mots pour des hommes et des femmes j'écris des mots pour notre passion cette flamme que tout ceux qui ont un coeur viennent l'écouter entendre son chant qui mêle les mots et les idées
25 octobre 2007

ombres naissantes - Ivan D.K.

je suis seul dans cette solitude sombre pris d'envie de destruction de mon être tout semble m'abandonner me fuir loin je suis reparti dans le domaine des ombres ici où le spleen s'accouple avec le paraître il est clair que plus rien n'apporte de soin je veux renaître mais sans artifice perdide être simplement tu comprends ça c'est tout mais si peu pour des yeux d'incroyants je te crois tu n'es pas un portrait placide tu me vois vaquant cherchant une loi flou dans les ombres d'un être renaissant
25 octobre 2007

la belle la liberté - Ivan D.K.

j'ai assoifé la liberté de mes folles pensées j'en ai usée et abusée pensant faire le bien prendre ce qui est mien j'ai saisi un vent de rien elle était une illusion et berçée sans passion par vous et sans raison elle avait l'âge de l'enfant un regard trop innocent un petit peu trop croyant elle m'a donné une vie le voyage servait une envie peut-être qu'elle a réussi je l'ai désirée tel une femme je l'ai saisi comme mon âme il en est né une flamme j'ai nourri cajolé la brulante aimer mille fois l'amante et l'ai caché sous ma tente j'ai assoifé la belle liberté pour moi seul je l'ai gardé peut-être je vais la partager
9 octobre 2007

Cours - Ivan D.K.

Cours Cours au fond des choses qui te composent Dans ces jardins de sons et d’instants de pauses Cours tu n’as pas de limites tu es fort Cœur vaillant et généreux tu brilles comme l’or Lumineux et resplendissant de milles bonheurs Tu cours virevoltant entre fontaines de joie et fleurs Au petit matin tu récoltes les larmes d’étoiles Tombé du ciel à la fin de la nuit pâle Tu cours et tes yeux pétillent comme la braise Seulement contre tout je ne veux pas que tu te taises Parle de tout ce qui me tord de douleurs Je suis seul pour affronter les malheurs Cours pour montrer ce qu’est cette vie Dans ces champs et prairies de l’éternel oublie. J’aimerais que tu éblouisses par l’éclat de la vérité De ta beauté, de ce que tu es, je n’ai jamais douté Car toujours tu cours pour trouver ce qui manque Tu le trouveras dans ce qui est de mon cœur la banque Cherche bien car je sais qu’il y est Quand tu le trouveras tu sauras comment aimer Cours dans les champs du cœur et de l’âme Tu as la place il n’y a aucune autre femme La simplicité primitive de cette longue course Va chercher le fond de ton cœur à la source Cours toujours avec courage et endurance Ne cherche plus jamais ce qu’il peut y avoir de sens Je suis là et ne m’oublie pas Je t’attend et reviens vers moi.
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22 janvier 2007

Triste nouvelle

je pense que je ne mettrais plus ce blog à jour...

la raison est que j'ai ouvert un blog privé sur le site internet de l'Elegantia Poetia et que celui-ci sera mieux à même de remplir ces fonctions...

vous pourrez donc le retrouver ici Nouveau Blog de l'Elegantia Poetia


merci à tout ceux qui auront suivi ce blog depuis son début...

2 décembre 2006

Toujours comme ça - Yotuwan

Toujours comme ça

c'est toujours comme ça et je ne sais pas pourquoi
comme un petit malaise qui bouge et tourne tout en bas
dans le tréfond de mon ventre qui luit dans le noir
il s'élance tout en criant pour me suivre comme un phare
un jet de lumière une essence qui conduit vers la nuit
je sais que j'y trouveraistout ce dont j'ai besoin dans la vie
pourtant mon coeur ne saurait me trahir jamais jamais
après tout ce qui m'arrive je ne saurais l'imaginer
ou bien l'envisager tel un rêve qui ne n'arrive pas à saisir
qui s'enfuit alors que je suis là pour pouvoir partir
mais où la possibilité de faire tout ça se présente à moi
je ne peux pas répondre à cette question qui saisit ma foi
qui danse tranquille sur le fil d'une vie encore trop courte
trop indécise qui s'inbibe du regard que ses yeux emportent
encore une fois je vais la tenter encore une dernière fois
bien que je sache déjà que cette envie ne pourra pas faire foi
je manie les mots tout seul ils me sont suffisant et ça
personne ne peut me l'enlever pas même les dieux d'autrefois
ni même l'étaut du regard qui se ressert sur l'être
les yeux de ses personnes qui opressent mon paraître
par ce rêve je me tiens éveillé suspendu à un espoir
que j'essaie d'oublier mais qui s'accroche dans mon coeur qui part
coeur qui part au loin
à la recherche d'un bien-être sûr
je veux que des fruits mûrs
la cueillette se passse bien
oubliant que je suis vivant
dans une vie de regrets du temps.
C'est toujours cdans cet ordre-là et je ne sais pas pourquoi
à la manière d'un malaise qui bouge sans arrêt tout en bas
toujours un peu trop grand
pour ce coeur blanc

23 novembre 2006

Pamphlet contre la violence - Yotuwan

Pamphlet contre la violence

Il vit, tout au moins il essaie. Faut dire que c’est pas facile dans cette vie. Il vit avec sa mère et sa sœur. Ils sont seuls. Enfin, c’est ce qu’on veut nous faire croire. Ils ne sont pas seuls puisqu’ils sont ensemble. Mais c’est pas dans les mœurs. Alors ils font avec. Les gens normaux aussi. Tant qu’on les embête pas, pourquoi se faire des idées sur les gens. Ça sert à rien. C’est ce qu’ils disent. Tant que les problèmes ne viennent pas devant le pallier de notre maison, pourquoi bouger.

Il vit, tout au moins il essaie. Il a l’esprit travailleur. Il ne chôme pas. C’est dans son éducation. Normal, sa mère a fait son boulot de mères. Pas comme certains. Pas comme ceux qui se moquent des autres. Pas comme ceux qui justement ne s’occupent pas des autres. D’ailleurs on fait bien la différence entre lui et les autres. Il vit ou plutôt il tente de vivre. Pire je crois, il donne l’impression de survivre.

Pourquoi ? Parce que personne ne s’occupe des gens. Ils ne sont pas touchés, alors pourquoi aller aider les autres. On va pas se fatiguer pour eux. Je pose la question. Il souffre. Sa famille aussi. Oui, parce que c’est bien une famille dont on parle. Il manque des éléments ? Et alors. Ils restent une famille. Que voulez-vous qu’ils soient d’autres. Une association de loi 1901 qui a décidé de vivre ensemble dans un accord à l’amiable. Non, ils sont une famille, et rien d’autres.

Personne ne les écoute quand il appelle à l’aide. Pourquoi ? Encore une fois, je pose la question. Il fait tout pour réussir sa vie. Et sans rien devoir à personne, pour ne pas gêner. Il fait son petit bout de chemin, sans embêter personne. Aidez-les. Faites quelques choses. À quoi servent les mots, à quoi servent les beaux discours, si on ne les applique pas ?

Dites-moi, je veux savoir. Il est seul. Non, sa famille est seule, et elle subit la violence. Et nous, que peut-on faire tout seul ? Rien. Vous entendez, nous ne pouvons rien faire seul. Il ne sait plus quoi faire. Il devient de plus en plus calme, comme s’il sonnait les trois coups de bâton avant le début d’une tragédie cornélienne. Il se prépare à jouer un requiem, hymne à sa vie.

Mais qui est-il ? Tout le monde se pose la question. Il, c’est Paul, Robert, Jean, Guillaume, Victor, Alain, Pierre, Jules, Jacques, Romain, Albert, Antonio, Mathias, Marco, Julien, tous des gens que vous connaissez. Des gens comme les autres. Des gens biens. Des gens qu’on veut pour amis. Sa mère qui est-elle ? Votre mère, votre femme, votre sœur. Parfois même la personne que vous espériez.

On casse leur voiture, leurs boîtes  aux lettres, on les insulte. On méprise et on reste impuni. On se croit tout permis. On reste là, à sa place. On n’a pas peur de faire du mal aux autres. On a souvent pas été éduqué. On agresse les gens et on se moque bien des autres. On ne s’aime même pas lui-même.

Mais qui est on ? On vient de partout. On est partout. On est dans la grande ville, dans les campagnes, dans les résidences. Le pire c’est qu’on ne se fait pas remarquer aux premiers abords. On peut être n’importe qui. On est celui ou celle dont on ne veut pas parler. On est tabou et on n’a pas le droit d’exister dans les mots et dans les discours.

Et moi, moi, j’en ai assez de tout ça. J’en ai assez de ne pouvoir rien dire, de ne pouvoir plus parler, de ne plus pouvoir aider mes amis dans cette situation. Je ne perds pas espoir, car les mots peuvent souvent plus que les actes, alors je le dis.

Aidez-les, aide-le. Faites quelque chose pour qu’ils puissent tous vivre dans la décence. Qu’ils ne vivent plus dans la peur, qu’ils ne vivent plus reclus sur eux-mêmes, caché de ce monde de violence.

Ne regardez pas que devant votre pallier.

Faites quelque chose s’il vous plaît.


20 novembre 2006

L'Amour - Apollinaire

L'anneau se met à l'annulaire
Après le baiser des aveux
Ce que nos lèvres murmurèrent
Est dans l'anneau des annulaires
Mets des roses dans tes cheveux

8 novembre 2006

Miles Davis

miles1

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